Après tout, la pierre-papier pourrait être assimilée à des valeurs mobilières, car il s’agit bien de parts de sociétés qui reversent à leurs «actionnaires» une quote-part de leurs bénéfices. La forte liquidité des parts de SCPI, et l’existence d’un marché secondaire, nous pousse encore à penser que les revenus des placements pierre-papier sont imposés dans la catégorie des revenus de capitaux mobiliers.
Cependant ce n’est pas l’option retenue par l’administration fiscale pour qui souhaite défiscaliser pour réduire ses impôts. En effet, on considérera à juste titre que les revenus versés aux porteurs de parts de SCPI sont des loyers, et sont ainsi imposés dans la catégorie des revenus fonciers.
Et pour aller plus loin sur l’imposition de la SCPI ?
Les épargnants ayant investi dans des parts de SCPI vont donc être imposés exactement comme si ils étaient détenteurs en direct de biens immobiliers qu’ils louaient. Une petite subtilité toutefois, en ce qui concerne le régime du micro-foncier : l’investisseur devra pour pouvoir en bénéficier, disposer d’autres revenus fonciers, et que les cumul de ces revenus une fois additionné avec les loyers des parts de SCPI ne dépasse pas 15.000€
De plus ce régime est exclus pour les contribuables qui détiennent des biens immobiliers en direct, ou via des parts de SCPI, qui bénéficient de régimes fiscaux particulier comme le Scellier ou le Robien.
Nous vous indiquons également la procédure pour bien déclarer ses loyers de SCPI sur votre déclaration de revenus, que vous bénéficiez de l’option du micro-foncier (déclaration 2042, la même que pour tous vos autres revenus) ou du régime réel (déclaration 2044).
Cette seconde option s’applique pour tous les contribuables dont les revenus fonciers excédent 15.000€, ceux qui ne dispose pas d’autres revenus fonciers, et peut également s’appliquer sur option pour les autres. Il est parfois plus avantageux de choisir le régime du réel, notamment dans le cas d’une acquisition de parts de SCPI par emprunt immobilier sans apport.
Enfin la Famille des 8 vous explique le calcul de l’impôt sur la plus-value, dû lors de la cession des titres à un montant supérieur au prix d’acquisition.
aphe ici.
Après tout, la pierre-papier pourrait être assimilée à des valeurs mobilières, car il s’agit bien de parts de sociétés qui reversent à leurs «actionnaires» une quote-part de leurs bénéfices. La forte liquidité des parts de SCPI, et l’existence d’un marché secondaire, nous pousse encore à penser que les revenus des placements pierre-papier sont imposés dans la catégorie des revenus de capitaux mobiliers.
Cependant ce n’est pas l’option retenue par l’administration fiscale pour qui souhaite défiscaliser pour réduire ses impôts. En effet, on considérera à juste titre que les revenus versés aux porteurs de parts de SCPI sont des loyers, et sont ainsi imposés dans la catégorie des revenus fonciers.
Et pour aller plus loin sur l’imposition de la SCPI ?
Les épargnants ayant investi dans des parts de SCPI vont donc être imposés exactement comme si ils étaient détenteurs en direct de biens immobiliers qu’ils louaient. Une petite subtilité toutefois, en ce qui concerne le régime du micro-foncier : l’investisseur devra pour pouvoir en bénéficier, disposer d’autres revenus fonciers, et que les cumul de ces revenus une fois additionné avec les loyers des parts de SCPI ne dépasse pas 15.000€
De plus ce régime est exclus pour les contribuables qui détiennent des biens immobiliers en direct, ou via des parts de SCPI, qui bénéficient de régimes fiscaux particulier comme le Scellier ou le Robien.
Nous vous indiquons également la procédure pour bien déclarer ses loyers de SCPI sur votre déclaration de revenus, que vous bénéficiez de l’option du micro-foncier (déclaration 2042, la même que pour tous vos autres revenus) ou du régime réel (déclaration 2044).
Cette seconde option s’applique pour tous les contribuables dont les revenus fonciers excédent 15.000€, ceux qui ne dispose pas d’autres revenus fonciers, et peut également s’appliquer sur option pour les autres. Il est parfois plus avantageux de choisir le régime du réel, notamment dans le cas d’une acquisition de parts de SCPI par emprunt immobilier sans apport.
Enfin la Famille des 8 vous explique le calcul de l’impôt sur la plus-value, dû lors de la cession des titres à un montant supérieur au prix d’acquisition.
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